نحن مغاربة هل تفهمون مغاربة

السلام عليكم تحية لصاحب الجلالة مالكنا محمد السادس و تحية لاعضاء المنتدى و تحية لجنودنا الابطال
-*كثرت هده الايام مقالات حول حقوق الامازيغ و هدا الكلام .

يا عالم نحن مغاربة و الفاتحون الاوائل كالمولى ادريس تزوج من امازيغية و الحسن التاني تزوج من امازيغية و المغرب كله مختلك فهناك من تزوج من الحسيمة و صفرو وخنيفرة وفاس... ادا فنحن مغاربة لمادا يصر البعض على خلق صراع وهمي هل يستطيع هدا الغبي وهو في الشارع ان يميز بين عربي وامازيغي طبعا هدا كلام فارغ من يروج لهده القضية الغبية فهو عميل للصهاينة وعاش المغرب و لالله الا الله محمد رسول الله وعاش محمد السادس وعاش هدا الشعب وهدا البلد الغني بثقافته والدي ادهل العالم بتسامحه. وشكرا

gladiateur (du latin gladius, « épée »), combattant de métier qui se produisait dans des spectacles de combats armés dans les cirques romains et les amphithéâtres antiques.La pratique de combats à mort opposant des hommes armés naquit en Étrurie, dans le centre de l'Italie, probablement comme rite lors des cérémonies funéraires en l'honneur des guerriers morts. Le premier spectacle de gladiateurs eut lieu à Rome en 264 av. J.-C., lorsque trois paires de gladiateurs se battirent lors des funérailles de Junius Brutus. Au cours de l'année 174 av. J.-C., trente-sept paires de gladiateurs prirent part à un spectacle qui dura trois jours. Des spectacles à grande échelle organisés par Jules César, qui comprirent à l'occasion trois cents paires de gladiateurs, amenèrent le Sénat romain à limiter le nombre de combattants. Le plus grand combat de gladiateurs fut donné par Trajan au cours d'une cérémonie de victoire en 107 apr. J.-C. et mit aux prises cinq mille paires de combattants. Domitien présenta en 90 apr. J.-C. des combats qui opposaient des femmes à des nains.Les gladiateurs étaient des esclaves, des criminels, des prisonniers de guerre et parfois des professionnels. Tenus de manier l'épée, ils étaient entraînés dans des écoles appelées ludi, et des mesures particulières étaient prises pour les soumettre à la discipline et les empêcher de se suicider. Un gladiateur, Spartacus, s'échappa de l’école de Capoue et mena une révolte qui terrorisa le sud de l'Italie de 73 à 71 av. J.-C.Un gladiateur victorieux était acclamé ; les poètes le louangeaient, son portrait apparaissait sur des bijoux et des vases, et les dames patriciennes le choyaient. Un gladiateur qui survivait à de nombreux combats était parfois relevé de ses obligations de combattre. Il arrivait que des affranchis et des citoyens romains entrent dans l'arène, ce que fit l'empereur Commode.En fonction des armes portées et des techniques de combat utilisées, les gladiateurs étaient divisés en classes légèrement et lourdement armées. Ainsi, le rétiaire (« homme au filet »), vêtu d'une courte tunique, devait essayer d'envelopper son adversaire dans un filet et de le tuer avec un trident. Les gladiateurs lourdement armés, les Samnites, les Thraces ou les Gaulois, empruntaient leurs armes et leurs noms aux ennemis de Rome. D'autres gladiateurs combattaient à cheval ou sur des chars. Selon la tradition, lorsqu'un gladiateur tenait un adversaire à sa merci, il se tournait vers les spectateurs. Si ceux-ci souhaitaient qu'il épargne la vie du vaincu, ils levaient leur mouchoir, mais s'ils pensaient qu'il devait être tué, ils tournaient le pouce vers le bas.Bien que Constantin le Grand eût interdit les combats de gladiateurs en 325 apr. J.-C., ceux-ci se poursuivirent jusqu'en l'an 500 environ. Spartacus ( ?-71 av. J.-C.), esclave et gladiateur peut-être originaire de Thrace. On pense que c'était un déserteur de l'armée romaine, vendu comme esclave à une école de gladiateurs de Capoue (sud de l'Italie).En 73 av. J.-C., Spartacus s'échappa avec d'autres gladiateurs et occupa le cratère inactif du Vésuve, où le rejoignirent de nombreux esclaves fugitifs. Il entraîna ses partisans dans la troisième guerre servile, ou guerre des Gladiateurs, battant deux armées romaines et dévastant le sud de l'Italie. En 72 av. J.-C., il tint en échec trois autres armées romaines et atteignit la Gaule cisalpine, où il avait l'intention de disperser ses compagnons et de les renvoyer dans leurs foyers. Ceux-ci ayant décidé de rester en Italie pour se livrer au pillage, Spartacus refit marche vers le sud. En 71 av. J.-C., le chef romain Marcus Licinius Crassus força Spartacus et ses partisans à se retirer dans l'étroite péninsule de Regium (auj. Reggio Calabria), mais ils parvinrent à traverser les lignes romaines et à s'échapper. Crassus poursuivit alors Spartacus jusqu'en Lucanie, où l'armée rebelle fut anéantie et Spartacus tué. L'insurrection fut matée et de nombreux rebelles furent crucifiés. Certains d'entre eux, qui étaient parvenus à s'échapper vers le nord, furent tués par Pompée qui revenait d'Espagne.Le personnage a inspiré un péplum à Stanley Kubrick, avec dans le rôle titre Kirk Douglas (Spartacus, 1960).Commode (161-192 apr. J.-C.), empereur romain (180-192), fils de l'empereur Marc Aurèle, dont le règne fut marqué par la violence et la débauche.À son arrivée au pouvoir, Commode — de son vrai nom Lucius Aelius Aurelius Commodus — ramena la paix sur le Danube, mais gouverna bientôt par la terreur. S'identifiant à Hercule, il participa à des combats de gladiateurs pour faire étalage de sa force physique et exigea qu'on le vénérât comme un dieu. De nombreux complots furent tramés pour attenter à sa vie, et il fut finalement assassiné.
Hercule (mythologie), dans la mythologie romaine, demi-dieu et héros à la force et au courage légendaires, identifié à l’Héraclès grec.La légende d’Hercule, dont le nom est la forme latinisée d’Héraclès, emprunte la plus grande partie de ses épisodes à celle de son prédécesseur grec. Cependant, d’autres récits sont propres à la figure romaine du héros
Héraclès, dans la mythologie grecque, demi-dieu et héros célèbre pour son courage, sa force exceptionnelle et ses nombreux exploits légendaires, assimilé à Hercule par les Romains.Héraclès naît de l’union de la reine Alcmène, descendante de Persée, et de Zeus, qui a pris les traits d’Amphitryon, son époux, pour se présenter à elle. D’abord prénommé Alcide, le héros prend par la suite le nom d’Héraclès (« la gloire d’Héra »). Il a pour frère jumeau Iphiclès.

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merci

معك حق نحن مغاربة و الاجدر بنا الا نستمع الى دعاة الافكار المتطرفة المدعومة من طرف اعداء المغرب داخل الوطن و خارجه قصد زعزعة امننا و سلام بلادنا.فكن امازيغيا او عربيا او كن ما شئت تذكر دائما اننا كلنا مغربة و لنا ما لنا و علينا ما علينا و كفانا بهذا فخرا و اعتزازا.

السلام عليكم
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الله يعطيك الصحة يا وطني يا شهم على اخلاصك ووفائك لله والوطن والملك

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