اليوم عيد الفطر .. شعر : عبدالمجيد فرغلي

[b][b][b]Aujourd’hui, c’est[/b][/b][/b]

[b][b][b]l’Aïd El fêter[/b][/b][/b]

[b][b][b]Lève-toi, aujourd’hui, c’est l’Aïd, qu’on appelle les maisons[/b][/b][/b]
[b][b][b]Mon frère, qu’on montre ce jour, les manifestations de notre Aïd[/b][/b][/b]
[b][b][b]Le matin est souriant, la nuit se dissipe[/b][/b][/b]
[b][b][b]Les gens se félicitent dans chaque maison[/b][/b][/b]
[b][b][b]Les enfants, en rejoignant les grands, crient de joie[/b][/b][/b]
[b][b][b]Tenant entre les mains des jouets, signe de joie et de fierté[/b][/b][/b]
[b][b][b]Chacun dit : « papa, achète-moi un jouet »[/b][/b][/b]
[b][b][b]Et la conversation commence[/b][/b][/b]
[b][b][b]Belle image de l’Aide, signe de nouveauté[/b][/b][/b]
[b][b][b]Chacun, de joie, serrait fortement son jouet[/b][/b][/b]
[b][b][b]A sa façon, la caresse une journée[/b][/b][/b]
[b][b][b]C’est le petit, jouissant[/b][/b][/b]
[b][b][b]Les grands se visitent[/b][/b][/b]
[b][b][b]Se discutent largement[/b][/b][/b]
[b][b][b]L’un dit : « mon frère, jouis de ton Aid pleinement. »[/b][/b][/b]
[b][b][b]Et chaque année, des nouveautés[/b][/b][/b]
[b][b][b]Que Dieu te renouvelle, de ce que tu aimes[/b][/b][/b]
[b][b][b]Supprime tes pêchers, et suffit les soucis[/b][/b][/b]
[b][b][b]Chacun exprime son sentiment, dialogue[/b][/b][/b]
[b][b][b]Mais moi j’ai une poésie composée de……. ;;[/b][/b][/b]
[b][b][b]De mes chaleureuses larmes, un enfant déçu[/b][/b][/b]
[b][b][b]Ayant perdu ce qu’il aime, misérable[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qui n’a pas trouvé de quoi nourrir ses petits[/b][/b][/b]
[b][b][b]Alors, il est humilié[/b][/b][/b]
[b][b][b]Commence à présenter une main tremblante, palie[/b][/b][/b]
[b][b][b]Misérable, las d’attente[/b][/b][/b]
[b][b][b]La nuit, longue, dévoile le jour[/b][/b][/b]
[b][b][b]Seul, sans visite ni maison[/b][/b][/b]
[b][b][b]Avec des petits enfants, pleurant excessivement[/b][/b][/b]
[b][b][b]La misère les dévore, les jetait hors maison[/b][/b][/b]
[b][b][b]Des murs des mosquées, vagabondaient, mendiaient[/b][/b][/b]
[b][b][b]Ou sur les rues, les quais, les trains[/b][/b][/b]
[b][b][b]Un autre handicap, aveugle[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qui mérite sans autre des visites[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qu’on les visite et les soulage[/b][/b][/b]
[b][b][b]Vite, mon frère, qu’on leur soulage[/b][/b][/b]
[b][b][b]Vite, mon frère, l’aumône , le jeun a une devise[/b][/b][/b]
[b][b][b]Nous met à l’abri de la ruine de l’âme[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qu’on les félicite de l’Aid, sans excuse[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qu’on les appelle à jouir comme des enfants[/b][/b][/b]
[b][b][b]Pour offrir des jouets à leurs enfants[/b][/b][/b]
[b][b][b]Qu’on leur montre qu’on est frères et voisins[/b][/b][/b]
[b][b][b]C’est la fraternité qui élimine la rancune et l’envie[/b][/b][/b]
[b][b][b]Que Dieu bénisse une nation, la paix sa devise[/b][/b][/b]
[b][b][b]Fournit aux arabistes, l’intimité et la victoire[/b][/b][/b]
[b][b][b]Sous le pouvoir de son chef, préservateur de son orgueil[/b][/b][/b]


[b][b][b]« Aujourd’hui, c’est l‘Aid El Feter[/b][/b][/b]
[b][b][b]“Abdelmeged FERGHALI[/b][/b][/b]